Les carnets de la flore de la Narbonnaise et du massif de la Clape | Explorations botaniques

La flore des Lagunes

La flore des dunes des Ayguades
La flore des dunes des Ayguades
  • La flore des lagunes de Mateille et des Ayguades

    Au pied de la montagne de la Clape Orientale se trouve le système lagunaire de Mateille et des Ayguades, bordé par le lido qui s'étend sur plus de 3 kms. Entre les paysages dunaires, étangs et prés salés, c'est un milieu fragile qui coexiste difficilement avec des infrastructures humaines importantes.

La flore du massif de la Clape

Les pineraies du vallon de la Goutine
Les pineraies et les chênaies du vallon de la Goutine
  • Flora Verticalis Part. I | Éloge de la verticalité dans le massif de la Clape

    Ce carnet explore la verticalité botanique du massif de la Clape, territoire de falaises abruptes, sculptées par le vent et le temps, où minéral et végétal s’entrelacent. Tandis que le Cade colonise certains plateaux, une autre figure se dévoile peu à peu sur les parois: le genévrier de Phénicie, enraciné dans la pierre, sentinelle immobile de cette danse entre ciel et roche.

  • La flore du Vallon de La Goutine | Les Caunes

    Encadré par les falaises des plateaux de Castela et des Caunes, c'est une promenade le long du Rec entre les végétations de berges et des falaises.

  • La flore des sources du Rec | Le plateau de Figuières

    Entre la flore de la combe du Rec et la garrigue du plateau de Figuières, c'est un contraste étonnant entre l'aridité de ces sols et la présence des rares sources encore actives de la montagne de la Clape.

  • La Centaurée de la Clape | Massif de la Clape

    Espèce endémique rare du massif de la Clape, près de Narbonne, la Centaurée de la Clape (Centaurea corymbosa) se distingue par sa floraison singulière et sa répartition extrêmement limitée. Découverte en 1783 par l’abbé Pierre André Pourret, cette plante pousse exclusivement sur les falaises, réparties en six stations distinctes à travers ce territoire rocheux. Sa floraison, marquée par de délicates inflorescences d’un rose éclatant, en fait un élément remarquable de la flore locale.

  • Une histoire de chênes | Massif de la Clape

    A la recherche des derniers grands chênes de la Clape, de leur origine, des traces du passé, et de leur futur que nous partagerons.

  • La flore fossile d'Armissan | Massif de la Clape

    Le dépôt d'Armissan date du Rupélien, période plus ancienne que ce qui avait été jusqu'à présent établi. Ce carnet s'efforce de rendre accessible les différents concepts et montre comment au XIXe siècle, cette découverte de G. de Saporta a été un tournant dans la compréhension de l'évolution des plantes. Il permet aussi de mettre en évidence le climat qui régnait dans cette région à l'Oligocène. Il se termine par la mise en perspective des descendants de cette flore montrant ainsi leur filiation et leur distribution actuelle.

  • Exploration & histoire des Cistes | Massif de la Clape

    Une invitation à découvrir les cistes, arbustes emblématiques des garrigues du massif de la Clape. Indicateurs de la dégradation des sols de l'ancienne chênaie, ces plantes pionnières participent à la régénération des écosystèmes méditerranéens. Dès l’Antiquité, des naturalistes comme Hérodote, Théophraste et Dioscoride ont décrit leurs propriétés, notamment la résine aromatique, le ladanum, prisée pour ses vertus médicinales et parfumées. Le mot 'ciste' vient du grec 'κίστη' (kistê) et du latin 'cista', qui signifient 'panier' ou 'boîte', en référence à la forme caractéristique de leurs fruits. Aujourd’hui, plusieurs espèces prospèrent dans le massif de la Clape, contribuant à la richesse botanique de la région.

  • Clefs d'identification des Centaurées | Massif de la Clape

    Savoir reconnaitre les espèces de Centaurée présentes dans la Clape.

  • Histoire & exploration du Myrte | Massif de la Clape

    Le myrte (Myrtus communis), autrefois abondant dans le massif de la Clape, ne survit plus aujourd’hui que dans quelques refuges discrets. Jadis omniprésent, il a vu son territoire reculer sous la pression des activités humaines: élagage, récolte intensive de ses baies, fragmentation de ses populations. Bien que non protégé officiellement, son déclin menace l’équilibre fragile de la biodiversité locale. Chaque arbuste disparu est une perte silencieuse, presque invisible, mais irréversible. Avec lui s’efface aussi un parfum autrefois familier, cette fragrance résineuse et épicée, à la fois âpre et suave, qui flottait dans l’air brûlant des étés méditerranéens.

La flore des îles des étangs

La garrigue de l'île de l'Aute
La garrigue de l'île de l'Aute
  • La flore de l'île de l'Aute | l'étang de Bages-Sigean

    Sur ce bloc calcaire surchauffé au milieu de l'étang de Bages-Sigean se succèdent des milieux humides (prés salés), et des milieux secs (garrigues, pineraies et falaises). L'île abrite une flore patrimoniale riche et protégée.

Pour en savoir plus

1. Parc national régional de la Narbonnaise
2. Plantes de la Garrigue languedocienne (Matorral) dans l 'ouest de l' Hérault (Biterrois)
3. Sète, Lagunes et Garrigue
4. Les Orchidées du Massif de la Clape